Simon Harel
Le voleur de parcours
Identité et cosmopolitisme dans
la littérature québécoise contemporaine
 » D’une écriture souvent élégante, parfois aérienne, Le voleur de parcours est un essai au sens fort, qui ne craint pas l’affrontement avec les questions les plus vénérables de l’identité québécoise tout en procédant tranquillement à un  » démembrement  » du corpus identitaire. […] Il est clair que l’analyse de l’altérité cosmopolite trouve un terrain tout à fait privilégié au Québec. Mais la  » brûlante actualité  » du sujet dont traite ce livre n’est qu’une incitation de plus à le lire.  » (Sherry Simon, Spirale)

 » L’essai de Harel est une réflexion fondamentale sur la présence ambiguë, à la fois menaçante et fascinante, toujours déstabilisante, de l’étranger dans la littérature québécoise contemporaine, reflétant, à un second degré, les attitudes changeantes de la psyché québécoise face à l’Autre.  » (Heinz Weinmann, Le Devoir)

Simon Harel est professeur au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Membre du Centre d’études interdisciplinaires sur les lettres, les arts et les traditions (CELAT), il est psychanalyste et a publié livres et articles sur les modalités de l’identitaire analytique contemporain au croisement de la culture, du discours social et de l’expérience clinique. Il est l’auteur de livres qui interrogent entre autres les œuvres d’Antonin Artaud, de Michel Leiris et de René Crevel et a mené des travaux substantiels sur les formes de l’écriture migrante au Québec. Directeur de la collection  » Théorie et littérature  » chez XYZ éditeur, il est le directeur de publication de plusieurs ouvrages collectifs. Il publiera sous peu un ouvrage consacré aux relations entre récit et énonciation dans le champ psychanalytique.

Hors collection
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Publié chez XYZ éditeur, Collection  » Documents  »
ISBN 2-89261-272-1, 1999
Non disponible au CELAT